Le Collectif Laïcité Yallah vous invite à une rencontre avec :
Radouane Attiya, islamologue, ancien imam et professeur de religion islamique.
Héla Ouardi, écrivaine et professeure des universités à Tunis.
Omar Youssef Souleimane, journaliste, poète et écrivain syrien, réfugié politique en France.
Modératrice : Djemila Benhabib, politologue et écrivaine, porte-parole du Collectif Laïcité Yallah
Mercredi, 12 octobre 2022 à 19h
Centre d’Action Laïque
Campus de la Plaine ULB, Accès 2
Boulevard de la Plaine – 1050 Bruxelles
Inscriptions obligatoires : naila.chikhi@laicite.net
(Seules les personnes ayant reçu une confirmation seront admises)
Un échange suivra avec la salle et un point de vente de livres sera organisé pour nos trois auteurs invités.
Radouane Attiya est diplômé en droit et principologie islamiques de l’université de Médine en Arabie saoudite, titulaire d’un master de l’Université de Louvain en langues et littératures anciennes, orientations orientales. Il est doctorant à l’Université de Liège. Ancien imam et professeur de religion islamique et de langue arabe. Il publie en 2021 à la Renaissance du Livre : Dis, c’est quoi l’islam ?
Héla Ouardi est professeure de littérature et de civilisation françaises à l’université de Tunis, et chercheuse associée du Laboratoire d’études sur les monothéismes du CNRS. Durant l’année académique 2021-2022, elle est professeure invitée à l’Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique. Elle a publié chez Albin Michel : Les derniers jours de Muhammad (2016), Les Califes maudits (3 volumes, 2019 à 2021).
Omar Youssef Souleimane est journaliste, écrivain et poète syrien. Il passe une partie de son adolescence en Arabie saoudite où il suit une éducation coranique. Entre 2006 et 2010, il devient journaliste en Syrie. En 2012, il rejoint la France qui lui accorde l’asile politique. En 2016, il est lauréat du prix Amélie-Murat pour le recueil La Mort ne séduit pas les ivrognes. En 2018, il publie : Le Petit Terroriste, récit autobiographique dans lequel il défend la liberté de critiquer l’islam.